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Source : TSA-Algérie
Date : October 31, 2014 at 07:20PM
La spirale des accidents de la route continue de faire des victimes sur nos routes. Ce lundi 27 octobre, vers 9h du matin, deux personnes sont mortes et cinq autres ont été blessées, dans un tragique carambolage survenu sur l'autouroute Est-Ouest, entre les wilayas de Bouira et de Boumerdès.
Deux personnes ont trouvé la mort et cinq autres ont été blessées dans un grave accident de la circulation survenu ce lundi 27 octobre sur un tronçon de l'autoroute Est-Ouest, situé entre les wilayas de Boumerdès et de Bouira, a-t-on appris du chargé de la communication de la Protection service, le lieutenant-colonel Farouk Achour.
Les deux personnes décédées sont mortes carbonisées dans leur véhicule touristique, entièrement calciné après avoir pris feu suite à un carambolage impliquant trois camions et cinq véhicules légers, ajoute M.Farouk, sans plus de précisions.
Le bilan de la Protection civile conforte la version rapportée par notre source, qui s'est retrouvée coincée dans l'embouteillage ayant suivi l'accident ainsi qu'un témoignage posté par un internaute sur un forum. D'après ces sources, citant des témoins oculaires, un semi-remorque serait tombé en panne au milieu de la chaussée, dans un virage en pente, et aurait provoqué un énorme carambolage. En effet, le véhicule touristique qui se trouvait derrière le poids lourd, dont le conducteur serait une femme, aurait percuté le semi-remorque. Quatre autres véhicules légers se seraient ensuite encastrés dans ce carambolage. Le dernier véhicule du carambolage (une Renault Clio Campus), à bord de laquelle se trouveraient trois passagers, aurait été percuté de plein fouet par un autre camion. Vu l'intensité du choc, la Clio aurait été pliée en deux avant de prendre feu. Un des passagers aurait été sauvé in extremis par les autres automobilistes qui l'aurait sorti du véhicule avant que celui-ci ne prenne feu. Les deux autres passagers auraient été, malheureusement, pris au piège et calcinés par les flammes qui se seraient ensuite emparées du camion. Un autre troisième camion aurait à son tour percuté les voitures accidentées, toujours selon nos recoupements.
Les deux morts, les cinq blessés ainsi que d'autres personnes sous le choc ont été évacués vers des hôpitaux de la régions. Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de ce tragique accident.
Yacine Omar
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L’Algérie abritera, du 28 au 31 octobre, le premier Congrès international Féminin Pour une Culture de Paix, placé sous le thème «Paroles aux femmes». Le congrès qui verra la participation de prés de 3000 personnes sera une occasion incontournable pour lancer un débat constructeur sur "l’image de l'Islam dans la société et la place primordiale de la femme comme première école et source de douceur et de paix".
« Cela fait cinq années que nous avons eu l’idée de préparer ce Congrès. En 2009, nous avons fêté le centenaire de la voie soufie alâwiya à Mostaganem et la 18e recommandation émise à l’issue de ce congrès stipulait : «Promouvoir et encourager la réflexion à la création d’un mouvement féminin international, force vive qui porte l'Islam de demain. C’est à partir de là que nous avons décidé la création d’un mouvement féminin dans le monde et dans le monde musulman en particulier », explique Cheikh Khaled Bentounès, le guide spirituel de la confrérie soufie Alawiya, contacté ce lundi après-midi. Le rôle de ce mouvement sera, selon lui « d’apporter cette harmonie du genre qui permet de construire une meilleure société du vivre ensemble ».
Le Congrès qui sera abrité par le Centre des conventions d'Oran (CCO) "Mohamed Benahmed" verra la participation de quelque 3000 personnes et réunira les femmes des quatre coins du monde dans le but de "changer l’image de l'Islam dans la société, une image ternie par toute cette violence commis au nom de l'Islam", précisent les organisateurs.
La femme, une source de douceur et de paix
Co-organise par la Fondation pour le développement méditerranéen "Djanet El Arif", basée à Mostaganem et présidée par Cheikh Khaled Bentounes, et un partenaire étranger, en l’occurrence l’ONG "Organisation Internationale Soufie Alawiya" (AISA), ce Congrès se veut une occasion pour « réhabiliter la dimension spirituelle, malheureusement négligée dans cette époque où règne uniquement la dimension matérialiste », nous explique M. Moulay Driss, le chargé de la communication du Congrès. « Nous vivons actuellement dans un monde plein de violence. Tout le monde se cherche et désire sortir de cet enfer. Nous considérons que la dimension spirituelle a été négligée et c’est pour la réhabiliter que nous organisons ce rendez-vous », explique-t-il. Questionné sur la place accordée à la femme dans ce Congrès, M. Moulay nous explique que «la culture de la paix passe par la femme, car le féminin représente tout ce qui est beauté, paix et tendresse. Nous avons besoin dans chacun d’entre nous de cette partie féminine qui appelle à la tolérance et à la paix », a-t-il ajouté.
Les organisateurs ont souligné, par ailleurs, que ce premier congrès sera dédié à l'étude de cinq axes dont « bâtir un monde de paix », « réconcilier le féminin et le masculin pour le retour vers l’harmonie et la paix », « construire une culture de paix en faveur du mieux vivre ensemble », "regards croisés" et enfin, "Féminin et culture de la paix" qui permettra une réflexion sur la construction d’une culture de paix au profit de l’humanité.
Nourhane. S.
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La Fédération algérienne de football (FAF) a reçu, ce lundi, une «sévère» mise en garde de la Confédération africaine de football (CAF) au sujet de l’organisation du dernier match des Verts, des éliminatoires de la CAN 2015 (4e journée), qui s’est joué au stade de Blida, le 15 octobre dernier, face au Malawi.
«Suite à la mauvaise organisation, par l’OPOW de Blida, qui a caractérisé le dernier match Algérie - Malawi, du 15 octobre 2014, comptant pour la quatrième journée des qualifications de la CAN 2015, et notamment l’envahissement du terrain à plusieurs reprises par des supporters, ce qui a entraîné momentanément l’arrêt de la rencontre, ainsi que les envahissements de la pelouse à la fin du match, la Commission de discipline de la Confédération Africaine de Football (CAF), suite au rapport des officiels, a infligé à la Fédération Algérienne de Football une mise en garde sévère», indique le communiqué de la FAF, publié ce lundi.
Bien évidemment, cette «mise en garde» est venue «conforter», d'une certaine façon, le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, dans son différend avec le Wali de Blida au sujet de l’organisation des matchs de l’équipe nationale. Ce dernier s’est accaparé toutes les prérogatives notamment la distribution des invitations pour la tribune officielle alors que la réglementation prévoit que c'est la FAF qui doit s’en charger. L'affaire a été médiatisé lorsque le Président Raouraoua a été vu durant le match Algérie vs Malawi assis dans une autre tribune que la tribune officielle.
Le prochain match des Verts aura lieu, dans le même stade, le 15 novembre prochain, face à l’Ethiopie. Si un incident (envahissement de terrain, utilisation de fumigènes etc.) émaillent cette rencontre, il est certain que la CAF aura de nouveaux arguments pour sanctionner la FAF.
Elyas Nour
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La charte définissant les devoirs du policier élaborée dernièrement par la DGSN met l'accent sur l'attitude que doivent adopter les fonctionnaires de police vis-à-vis des citoyens en accomplissant leur service. Garantissant notamment un meilleur accueil et un meilleur service à travers les structures de police, elle vise à rapprocher le policier du citoyen, dans le respect des lois de la République et les principes des Droits de l'Homme.
La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a mis en place "récemment" une charte définissant "les devoirs du policier". Découlant du statut particulier des fonctionnaires de police, le document, dont nous détenons une copie, comporte dix dispositions définissant la conduite à tenir par les policiers lors de l'accueil du public et des victimes.
Cette charte oblige le policier à "satisfaire le citoyen en remplissant sa mission de manière professionnelle, 24h/24h". En vertu de cette charte, le policier se doit également de "travailler à la construction de relations de proximité avec toutes les tranches de la société". En sus de ses missions consistant à "assurer la protection des biens et des citoyens", "combattre le crime et présenter les criminels devant la justice", le policier est également tenu par cette sorte de code de déontologie d'assurer au citoyen "un environnement idéal dans les structures de police, conformément à la loi et aux principes des droits humains". Il est astreint aussi à "réponde aux sollicitations et plaintes des citoyens dans les délais réglementaires". Mieux, le policier a l'obligation de "veiller à éclairer l'opinion publique en fournissant les informations au moment qu'il faut".
Dans sa présentation de la charte, la DGSN souligne qu'une campagne d' "explication" et de "généralisation" du document à "tous les services et forces de police" est en cours "ces jours-ci". Cette charte, précise-t-on de même source, sera ainsi affichée au niveau de toutes les salles d'accueil et d'orientation des structures de police pour "permettre au citoyen d'en prendre connaissance et d'agir en conséquence". Objectif: "construire des ponts de collaboration et de coopération (entre la police et le citoyen), dans le respect des lois de la République et des principes des droits humains", souligne la DGSN.
Yacine Omar
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Les travailleurs algériens sont mieux payés en 2013 qu'en 2012, affirme une étude de l'Office national des statistiques, diffusée ce lundi via son site internet. On y apprend que le salaire moyen net mensuel, chiffré à 36 100 dinars par l'Office national des statistiques, est en augmentation de 13,7% en 2013 par rapport à l'année passée.
Les salaires algériens, tout secteur confondu, sont en hausse. Le salaire moyen net mensuel (hors agriculture et administration) a ainsi fait un saut de 13,7% en 2013 par rapport à 2012 pour atteindre 36 104 dinars contre 31 755 en 2012, affirme l'Office national des statistiques (ONS) dans un rapport diffusé ce lundi sur son site internet. L'enquête annuelle de l'ONS sur les salaires a été réalisée en mai 2013 par voie postale auprès de 1025 entreprises, privées et publiques, représentant toutes les différentes activités économiques du pays, soulignent les rédacteurs du rapport dans leur introduction.
Des salaires quasi 2 fois plus élevés dans le public que dans le privé
Trois secteurs enregistrent en 2013 une augmentation salariale importante, supérieure à 18%. Il s'agit en l'occurrence du secteur des services (+18,9%), du BTP (+18,5%) et celui de la production et distribution d'électricité, de gaz et d'eau (+18,1%), précise le document. Toutefois, en dépit de cet effort salarial, le secteur du BTP demeure l'activité la moins rémunératrice d'Algérie, avec un niveau moyen de salaire net mensuel de 28 021 DA en 2013 contre 23 652 DA en 2012.
En matière de politique salariale en Algérie, une autre chose ne change pas : le secteur public paye toujours beaucoup mieux que le secteur privé. Les entreprises du secteur public disent payer en moyenne leurs employés 51 000 DA par mois contre 29 200 dans le secteur privé. Soit une différence de 21 800 DA. Autrement dit, les salariés du public touchent quasiment deux fois plus chaque mois que leurs homologues du privé. Une exception mondiale !
Pour l'ONS, "ce niveau relativement élevé du salaire dans le public est dû en partie à l’existence de certaines entreprises publiques importantes en termes d’effectifs avec un système de rémunération avantageux. C’est l’une des causes de disparité importante des salaires. C’est notamment le cas des entreprises dans les industries extractives (secteur des hydrocarbures et services pétroliers), les transports et communications et les activités financières".
Le secteur pétrolier, historique n°1 dans la rémunération en Algérie
En effet, le secteur des activités pétrolières, à savoir la production et services d'hydrocarbure, reste historiquement le plus rémunérateur en Algérie, avec un salaire moyen net mensuel établi à 94 000 DA en 2013. Soit 2,6 fois plus que le salaire net moyen gobal ! Les cadres employés dans le secteur des industries d'extraction du pétrole sont les mieux lotis du pays avec un salaire net moyen mensuel chiffré à 116 800 DA.
En deuxième position, vient le secteur des activités financières (banques et assurances), avec un niveau moyen de salaire net mensuel de 55 200 DA en 2013. Soit 1,5 fois plus que le salaire net moyen global, note l'ONS. Les cadres des banques et assurances perçoivent un salaire net moyen de 68 500 tous les mois, ce qui est beaucoup moins que les cadres employés dans le secteur pétrolier.
A l'inverse, le secteur de l'immobilier est l'une des activités qui rémunèrent le moins bien en Algérie. Malgré une hausse de 14, 5% du salaire net moyen mensuel, celui-ci reste faible, de l'ordre de 29 100 DA, selon les données récoltées en 2013 par l'ONS. "Cela est dû essentiellement à l'importance de l'effectif du personnel d'exécution",un personnel peu qualifié contrairement au secteur pétrolier, expliquent les experts de l'ONS dans leur rapport.
L'étude de l'ONS sur les salaires en Algérie en 2013 fait enfin remarquer que le salaire de base représente une large partie du salaire total, perçu par un employé. "Globalement, pour les deux secteurs public et privé, le salaire de base représente en moyenne 62% et les primes et indemnités 38% de la rémunération brute totale", peut-on ainsi lire dans le rapport. Cependant, d'après une enquête sur les salaires dans le secteur privé du cabinet de conseil Paymed, dont nous nous sommes procurés une copie, les grilles de salaires dans ce secteur intègrent de plus en plus une partie variable dans le calcul du revenu mensuel.
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«J’ai toujours considéré qu’il s’agissait d’une affaire entre l’homme et son créateur, dans laquelle personne d’autre, et surtout pas le public, n’avait le droit d’intervenir», disait en 1776 Thomas Jefferson, l’un des pères fondateurs des Etats-Unis d’Amérique, l’actuelle première puissance mondiale. Aujourd’hui, cette citation qui dessine toute une ligne de conduite, toute une pensée politique, colle plus que jamais à la situation algérienne.
Oui, l’Algérie musulmane, conservatrice, arriérée ou je ne sais quoi encore, a besoin d’une telle pensée éclairée et éclairante. L’Algérie où le pouvoir en place instrumentalise la religion depuis des lustres pour contrôler les esprits et engourdir la société doit aujourd’hui, et une fois pour toute, pouvoir débattre sur la relation qu’entretient la religion avec l’Etat. Une relation incestueuse, on peut oser le dire, car depuis maintenant deux décennies, les ravages de ce couple «Religion-Etat» ou «Islam-Politique» et «Coran-Constitution», empêchent tout un pays d’émerger et de rejoindre le banc des pays développés.
Lorsqu’on voit comment nos imams sont mobilisés et instruits de manipuler les fidèles dans les mosquées afin de les pousser à voter ou donner leurs voix dans les urnes lors de scrutins obscurs et truqués, on ne peut guère nier que l’instrumentalisation de la religion par un régime politique est une menace pour l’avenir de notre pays. Lorsqu’on voit comment des prédicateurs religieux défendant une vision fanatique, arriérée et idéologisée de notre religion, sont soutenus et appuyées par des cercles politiques, on ne peut pas affirmer que l’ingérence du politique dans la religion n’est pas source de dangers en Algérie. Lorsqu’on voit comment des politiques et hauts dirigeants utilisent l’influence religieuse de certaines zaouïas et confréries, on ne peut pas minimiser le risque de ces manigances sur la stabilité de notre société. Lorsqu’on voit comment des courants religieux extrémistes prospèrent dans nos écoles et autres institutions publiques sous le regard bienveillant de nos autorités qui réagissent de manière très différente, et surtout violente, quand des revendications démocratiques naissent dans ces mêmes lieux, on ne peut pas dire qu’il faut encore attendre longtemps pour tirer la sonnette d’alarme.
Lorsqu’on voit comment le ministère des Affaires Religieuses gère dans l’opacité totale les fonds de la Zakat et les biens constitués en wakf, on ne peut pas dire qu’un ministère entièrement dédié à la religion est une excellente initiative sur tous les plans. Quand on voit comment les minorités religieuses et les gens qui osent afficher leur liberté de pensée comme les non-jeûneurs sont traités et réprimés, on ne peut pas dire que «l’Islam religion de l’Etat» est un principe indiscutable et son application «incritiquable».
Les Algériens ont-ils besoin qu’on leur rappelle à chaque fois qu’ils sont majoritairement musulmans en diffusant l’Adhan au milieu des matchs de football ? Les Algériens ne sont-ils pas capables à eux-seuls de protéger leurs convictions religieuses ? A-t-on besoin d’un Etat pour développer le pays, garantir les soins et l’éducation pour tous les citoyens, rendre justice aux opprimés ou pour propager l’Islam, une religion d’ores et déjà enracinée dans notre pays depuis des siècles ?
Ces questions méritent réellement un véritable débat. L’identité politique de notre Etat nourrit en ce moment les crises structurelles de son fonctionnement. Le code de la famille et ses articles inspirés maladroitement de la Charia sans aucun effort de contextualisation cause chaque jour le malheur de plusieurs algériens et algériennes. Les libertés individuelles et publiques en pâtissent aussi à cause de cette religiosité politique exacerbée. Les Algériens sont musulmans et ils le savent tous. Une politisation de la religion ne leur apporte aucune quiétude spirituelle. Au contraire, la décennie noire nous l’a démontré, cette «étatisation de la religion» comme disait le regretté Mohamed Arkoun, un islamologue algérien éclairé mais rejeté dans son propre pays, n’a apporté que misère sociale, malheurs et frustrations collectives. Il est temps d’ouvrir le débat sur l’impérative nécessité d’une séparation entre l’Etat et la Religion. Je ne détiens aucune réponse. Mais j’ose poser, et se poser, des questions. Je suis un séculier, je l’affirme haut et fort. Mais la laïcité autoritaire à la Française ne m’intéresse pas. Aucun modèle occidental ne m’intéresse. Nous les Algériens, nous devons arrêter de reproduire les expériences des uns et des autres dans notre pays. Soyons enfin nous-mêmes et fondons notre propre modèle socio-politique. La sécularisation, c’est-à-dire la désacralisation du champ social et l’émancipation des valeurs religieuses du champ politique, est une option de gouvernance qui peut remettre le pays sur les rails du développement. Elle peut aussi mettre fin à ces problématiques identitaires et sociétales qui empêchent notre société de se concentrer sur un projet national dédié à la modernité. «Le gouvernement n’a pas l’ombre d’un droit de se mêler de religion. Sa plus petite interférence serait une usurpation flagrante», disait aussi James Madison, l’un des pères fondateurs des Etats-Unis d’Amérique. Beaucoup d’algériens ne sont pas d’accord avec cette vision. Mais ce n’est pas grave. Osons au moins d’en débattre !
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Des éléments de l'armée nationale (ANP) ont abattu dimanche 26 octobre deux terroristes dans la wilaya de Jijel, indique ce lundi le ministère de la Défense.
C'est au cours d'une embuscade tendue par des éléments appartenant à un détachement des forces de l'armée nationale populaire (ANP) que des militaires ont tué deux terroristes dimanche 26 octobre à 19 H au lieu dit Mechtet Oulad Amrane dans la commune d'Echehna, dans la wilaya de Jijel, indique ce lundi un communiqué du ministère de la Défense.
Au cours de cette opération, relevant de la lutte antiterroriste et contre le crime organisé dans la 5è région militaire, les soldats ont également mis la mains sur deux fusils automatique de type Kalachnikov, précise la même source. L'embuscade a aussi permis de récupérer tout un arsenal, composé d'une paire de jumelles, de trois grenades, de téléphones portables et d'autres objets, ajoute encore le ministère de la Défense.
Djanet
Dans son communiqué, le département dirigé par Ahmed Gaïd Salah fait aussi état de l'arrestation le même jour à 21 H de quatre contrebandiers algériens et de la saisie de leur véhicule tout-terrain, suite à une patrouille de reconnaissance près de la localité d'Amamoken à Djanet, dans la wilaya d'Illizi.
Avec APS
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L’Office Riadh El Feth, en perte de vitesse ces dernières, semble redevenir un lieu attractif à Alger grâce notamment aux espaces de jeux et de loisir destinés à toutes tranches d’âge confondues.
Situé à l'est de Diar El Maacoul, au nord du plateau des Annaseurs, au sud de Belouizdad et à l'ouest des Fusillés, le complexe Riadh El Feth, construit à côté du ravin de la femme sauvage et au centre d'une forêt, n’attirait plus les Algérois depuis longtemps. Ce qui a conduit plusieurs commerçants, qui avaient ouvert boutique à l'intérieur de cet édifice historique et moderne lancé en 1982 et inauguré en 1985 par l’organisation de la 1ère Fête de l'Indépendance et de la jeunesse, a fait part de leur inquiétude ces dernières années. "Autrefois, les Algérois étaient nombreux à visiter l’Office Riadh El Feth pour se promener, visiter le Makam El Chahid, profiter de la belle vue qu’offre le site, s’attabler en famille dans les restaurants et visiter les musées. Aujourd’hui, peu de gens veulent venir se balader par ici", s’inquiète ainsi Nachida, gérante d’une petite boutique d’objets traditionnels à Riadh El Feth.
Renouveau
Mais depuis le printemps dernier, l'officie Riadh El Feth est redevenu un espace convivial et fréquenté. Pourquoi une telle affluence ? Les parents accompagnés par leurs enfants sont nombreux à venir à Riadh El Feth pour se divertir et profiter des nouveaux espaces de jeux, se trouvant au second étage. Les espaces de jeux, gérés par les responsables du Cinéma Cosmos, sont en effet un régal pour les enfants de toutes tranches d’âge confondues. Ainsi, si certains adolescents préfèrent jouer aux derniers jeux vidéo comme la dernière édition du jeu FIFA ou autres jeux virtuels, d’autres sont attirés par les jeux plus traditionnels tels que le baby foot, le billard etc. Les tous petits ne sont pas lésés puisque des aires de jeux très bien équipées leur sont réservés. «J’avoue que je suis très contente de pouvoir emmener mes petits dans cet espace où ils peuvent jouer en toute sécurité et profiter de bons moments », confie une mère d'une trentaine d'années, qui reconnaît le manque d’espace de loisir à Alger.
De 4000 à 6000 visiteurs par jour
Selon les gérants de ces nouveaux espaces de jeux, entre 4000 et 6000 visiteurs se rendent chaque jour à l’Office Riadh el Feth pour un moment de détente. « Le chiffre augmente largement durant le week-end où les gens se bousculent et des longues files attendent leur tour pour pouvoir jouer », nous explique Walid, gérant de l’aire de jeu pour enfants. Pour expliquer l’intérêt que portent de nouveau les Algérois à Riadh El Feth, notre interlocuteur nous explique que cela est dû en premier lieu à l’amélioration des conditions de sécurité, le prolongement de l’ouverture de ces lieux jusqu’à 22H30, la propreté des lieux ainsi que le manque des espaces de loisirs à Alger.
Nourhane. S.
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Lu sur RFI
En match aller de la finale de la Ligue des champions africaine, disputé entre les Congolais de l’AS Vita Club et les Algériens de l’ES Sétif, ces derniers ont pris une option sur la victoire finale en ramenant le nul (2-2) de leur déplacement à Kinshasa.
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Lu sur Le Jeune Indépendant
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