mardi 31 janvier 2017

Comptes CCP inactifs depuis 15 ans/ Les avoirs transférés au Trésor public

Les autorités continuent de chercher des fonds pour renflouer le Trésor public pénalisé par le recul des recettes d'exportation des hydrocarbures. Parmi les mesures préconisées : la récupération des avoirs des comptes CCP de particuliers inactifs depuis 15 ans.     

Le ministère de la Poste et des TIC (MPTIC) a décidé de fermer les comptes CCP des particuliers inactifs depuis 15 ans et de transférer leurs avoirs au Trésor public après prélèvement des charges de fonctionnement.

Sans préciser le nombre de comptes et la valeur des avoirs concernés par cette mesure, MPTIC a annoncé que des préavis seront adressés à l'attention des personnes concernées qui se verront attribuer un délai de 60 jours pour se manifester. Le même département a également fait savoir que tous les moyens de communication seront associés pour que tous les concernés soit avisés.

Massi M.

Cet article Comptes CCP inactifs depuis 15 ans/ Les avoirs transférés au Trésor public est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 03:47PM

Droits de retransmission de la CAN/ L’Union africaine dénonce des tarifs “prohibitifs”

Les pays africains réagissent, pour la première fois et de manière conjointe, au diktat des détenteurs des droits de retransmission des compétitions footballistiques du continent.

Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union  africaine (UA), en réunion ces deux derniers jours, à Adis Abeba, en Ethiopie, à l'occasion du 28e sommet de l'UA, ont adopté une motion dénonçant les droits «prohibitifs et inconsidérés» de la CAN qui se déroule actuellement au Gabon. «Nos populations, partout en Afrique, se voient malheureusement empêchées et frustrées de suivre et de vivre avec joie, ces moments de liesse africaine en raison de la position monopolistique aux relents purement mercantiles, qu'exercent les lobbies et les puissances de l'argent internationaux sur le contrôle direct  des droits de diffusion télévisuelle», indique-t-on dans cette déclaration. «Ces droits tellement prohibitifs et inconsidérés que ne peuvent supporter nos radiodiffuseurs, encore moins des centaines millions de jeunes africains, les privent de prendre part à ce qui doit être une fête de l'Afrique, moment fort s'il en est, de rapprochement et de partage culturel entre nos peuples», ajoute-t-on encore.

Pour y remédier, les Africains veulent procéder, à l'instar de certains pays européens, à l'image de l'Angleterre et de la Belgique, qui, l'année dernière, ont voté une loi déclarant la Coupe européenne de football comme étant un événement «d'une grande importance» nécessitant une retransmission en clair sur le signal hertzien, suite à quoi l'UEFA a dû obtempérer, la Cour européenne de justice ayant donné raison à ces deux pays.

Les dirigeants des pays africains ont demandé à ce qu'«une loi relative aux conditions de retransmission des événements sportifs considérés comme revêtant une importance majeure soit adoptée au niveau continental et au niveau de chaque Etat membre». «Aussi, et pour mettre un terme définitif à cette injustice, nous interpellons énergiquement toutes les instances africaines en charge de la jeunesse et du sport en Afrique,  en vue d'œuvrer résolument à rétablir l'équité et la justice à l'endroit de  l'Afrique et de sa jeunesse notamment», indique le communiqué de l'UA.

Les pays africains auront-ils gain de cause ? Il faut attendre les prochains mois pour constater l'évolution des choses.

Il faut rappeler que les droits de retransmission de la CAN sont commercialisés par la firme «Sport Five», une filiale du groupe français Lagardère, pour le compte de la CAF. Les droits ont été revendus à beIN sports pour l'Afrique et le Moyen-Orient. Aucun des pays nord-africains n'a pu les racheter.

Elyas Nour

Cet article Droits de retransmission de la CAN/ L'Union africaine dénonce des tarifs "prohibitifs" est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 03:37PM

Médias/ Les chaînes privées indésirables sauf pour la couverture des élections  

Le ministre de la Communication a abordé la question de la couverture médiatique de la prochaine campagne électorale par les chaînes de télévision privées non agrées, hier lundi, lors d'une conférence à l'École supérieure de journalisme d'Alger. Selon ses déclarations, ces chaînes pourraient être associées dans la couverture de ces élections sous réserve de "ne pas dépasser des lignes rouges".      

Le ministre de la Communication a défendu dans un premier temps  le fait que l'association de ces chaînes privées de droit étranger à la couverture de la prochaine campagne électorale est illogique dans la mesure où les autorités ne les reconnaissent pas légalement. «Ce ne sont pas toutes les chaînes privées qui sont autorisées à couvrir les prochaines élections», a-t-il affirmé, ajoutant: «Nous sommes dans la légalité et on ne va pas donner (des autorisations) à des chaînes de droit étranger».

Interrogé sur le sort de ces chaînes privées non agrées notamment en ce qui concerne les élections, le ministre a tenu dans un deuxième temps, à laisser la porte ouverte en vue d'établir des arrangements qui leur permettraient de couvrir les échéances prochaines, considérées comme vitales pour le gouvernement, et ce, en les soumettant à un code de conduite dont le contenu sera fixé par son département. «On aura la possibilité de discuter avec elles, s'il y a lieu de le faire, pour qu'il n'y ait pas de problèmes de diffamation ou d'injures lors des prochaines élections , a-t-il indiqué.

Massi M.

 

Cet article Médias/ Les chaînes privées indésirables sauf pour la couverture des élections   est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 03:02PM

Libertés syndicales/ Passe d’armes entre l’Algérie et la CSI

Le respect des libertés syndicales fait l'objet d'une vive polémique entre le gouvernement algérien et la Confédération syndicale internationale (CSI).

Dans une lettre adressée au chef de l'Etat, Sharan Burrow, secrétaire générale de l'organisation internationale basée à Bruxelles, a interpellé les autorités algériennes sur l'arrestation de syndicalistes appartenant au Syndicat national pour les personnels de l'administration publique (SNAPAP).

La saisine des autorités algériennes a fait réagir l'ambassadeur algérien à Bruxelles, Amar Belani, qui a qualifié la protestation de la représentante syndicale «d'allégations mensongères qui déroge aux plus élémentaires règles d'élégance exigibles à l'adresse de la plus haute autorité d'un Etat souverain». Selon le diplomate, la journée de protestation des syndicalistes du SNAPAP du 30 novembre dernier, qui a suscité la réaction de la CSI, avait pour objet «le bouleversement de l'ordre public, voire la provocation d'une insurrection civile, un agissement éminemment politique et loin de toute revendication à caractère syndicale».

Dans sa réponse, Sharan Burrow a répliqué en des termes durs: «Concernant votre défense portant sur le fait que la protestation était illégale et politique et ne revêtait pas de caractère politique justifiant ainsi les arrestations, il est clair qu'aucune arrestation ou autre forme d'ingérence violente de la part de la police ne devaient se produire, dès lors qu'elles sont en rapport avec des actions de protestation pacifique qui ne sont même pas considérées comme illégale sous les lois nationales». Elle a ajouté: «L'image que vous nous donnez du respect de la liberté syndicale et du dialogue social en Algérie est malheureusement loin de la réalité».

Plus grave encore, la syndicaliste indique que les autorités algériennes ont «paraphé toutes les conventions» internationales relatives au droit de travail. Mais, sur le terrain «l'application» fait défaut.

Essaïd Wakli

Cet article Libertés syndicales/ Passe d'armes entre l'Algérie et la CSI est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 12:01PM

Dépenses publiques/ Des costumes de marque, des fleurs et des frais de restauration exorbitants pour les responsables  

Plusieurs députés ont souligné, hier lundi, à l'occasion du débat sur le projet de loi sur le règlement budgétaire de 2014, l'urgence de mettre en place, au niveau de la chambre basse du parlement, des mécanismes de contrôle chargés de la gestion des fonds publics. S'appuyant sur des irrégularités de dépenses relevées par la Cour des comptes, les députés ont livré plusieurs exemples qui frôlent l'indécence.   

La séance de débat a été ouverte par le député indépendant Tahar Missoum, plus connu sous le sobriquet de "spécifique", qui a insisté, tout au long de son intervention, sur la nécessité de munir la chambre basse du parlement d'un mécanisme de contrôle efficient, à même de surveiller et surtout de demander des comptes au gouvernement pour tout ce qui a trait à l'exécution des budgets alloués aux ministères.

Ainsi selon Tahar Missoum, les hauts responsables de l'État se permettent d'acheter des costumes de grandes marques atteignant les 25 millions de centimes en plus des courses quotidiennes faites de produits de luxe qui se chiffrent à plusieurs millions de centimes. Pour M. Missoum, c'est le budget de l'État et par extension l'argent du peuple qui est utilisé pour satisfaire les caprices des responsables.

Dans la même optique, le député du Front de la justice et du développement (FJD), Mohamed Seghir Mammani, s'est interrogé sur les dépenses surréalistes des services du ministère du Commerce dans le cadre du budget d'entretien. Selon lui, le ministre a acquis des stores de bureau facturés à 139 millions de centimes, ce qui est à son sens tout à fait inconcevable. Dans le volet des dépenses quotidiennes, le ministre du Commerce a dépensé 18 millions de centimes en 2014, pour se restaurer et 3,8 millions de centimes pour l'achat de fleurs. Le même député a également rappelé que le ministère du Commerce a déboursé 12 millions de centimes pour l'achat de journaux et magazines pour le compte de 88 responsables, ce qui fait une moyenne de 1596 articles achetés annuellement.

Pour ça part, le député Nasser Hamdadouche a déploré l'absence de mécanismes de contrôle en cette conjoncture de crise. Pour lui, il est parfaitement inadmissible que le gouvernement continue de débourser ce qui avoisine les 80 milliards de dinars pour la restauration et l'achat de vêtement.

Massi M.          

 

Cet article Dépenses publiques/ Des costumes de marque, des fleurs et des frais de restauration exorbitants pour les responsables   est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 10:51AM

Importation de livres/ Les ouvrages traitant de la révolution soumis à l’approbation du ministère des Moudjahidine

Le décret  exécutif  n° 17-19  du  17 janvier  2017 «fixant les modalités de mise en œuvre de la procédure  de dépôt de la liste des titres de livres  importés avant distribution en Algérie» vient d'être publié au Journal officiel. Il en ressort que les importateurs n'auront pas le droit de commercialiser les livres qui traitent des questions du mouvement national et de la révolution  algérienne qu'après avoir reçu l'aval du ministère des Moudjahidine.

En effet, l'article 2 stipule qu' «à l'exception du livre religieux et du livre parascolaire, l'importation du livre  sur support papier, numérique  ou  électronique,  édité  à  l'étranger, destiné à la vente, à la lecture  publique ou au don en Algérie, est soumise à la procédure de dépôt de la liste des titres auprès des services du ministère chargé de la culture avant leur distribution». Ainsi, l'importateur n'a qu'a déposer une liste contenant «le titre complet du livre, le nom de l'auteur ou des auteurs, le nom de l'éditeur, l'année et la langue d'édition, le numéro international normalisé du livre (ISBN), le cas échéant  et le nombre d'exemplaires importés».

Concernant les livres traitant des questions du mouvement national et de la révolution algérienne, il doit joindre deux exemplaires (article 3). Ceux-là sont automatiquement soumis à la lecture, indique-t-on dans ce même décret. Le ministère de la Culture doit rendre sa réponse à l'importateur au bout de 30 jours. Si celui-ci n'a pas reçu de réponse, il est automatiquement autorisé à commercialiser ses livres.

Pour les livres portant sur l'histoire de la révolution algérienne, «les  services  du ministère chargé de la culture sont tenus de solliciter l'avis des services du ministère chargé des moudjahidine» (article 6). Dans le cas où le contenu ne plait pas, une interdiction de distribution sera remise à l'importateur en question.

Notons que le financement des films relatifs à la guerre de libération nationale est déjà soumis à l'autorisation du ministère des Moudjahidines.

Elyas Nour

Cet article Importation de livres/ Les ouvrages traitant de la révolution soumis à l'approbation du ministère des Moudjahidine est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 10:14AM

Incendie au Tribunal d’Alger/ De précieuses archives parties en fumée

 

Un incendie, apparemment parti d'un court-circuit, a ravagé le sous-sol du Tribunal d'Alger. Des dizaines d'archives, datant de la période coloniale, ont été brûlées, selon des témoins.

Quatre (4) camions de pompiers et quatre (4) ambulances ont été mobilisés  pour y faire face, a indiqué à l'APS le lieutenant Khaled Ben Khalfallah, chargé de communication à la protection civile de la wilaya d'Alger.

Les services du ministère de la Justice n'ont toujours pas communiqué sur le sujet.

E.W.

Cet article Incendie au Tribunal d'Alger/ De précieuses archives parties en fumée est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 09:54AM

Economie nationale/ La Banque d’Algérie dresse un tableau peu rassurant

Contrairement au gouvernement qui cherche constamment à éluder la réalité, la Banque d'Algérie est plus alarmiste concernant la situation économique du pays.

Lors d'une intervention devant les députés, le gouverneur de la banque d'Algérie a reconnu que la situation économique du pays était «fragile» durant l'année 2016. Présentant le bilan de la situation économique et financière du  pays à fin septembre 2016 devant l'Assemblée Populaire Nationale (APN), Mohamed Loukal a relevé «la fragilité de la situation économique et financière de l'Algérie durant l'année 2015 et les neuf premiers mois de 2016». Selon le même responsable, cette conjoncture est due «à une faible relance économique, une poursuite du ralentissement de la croissance du commerce international, une chute drastique des prix des matières premières, notamment ceux du pétrole, et une forte évolution des cours de change internationaux dans le sillage de la hausse de la valeur du dollar américain face à l'euro».

Selon Mohamed Loukal, le déficit budgétaire et le compte courant extérieur «se sont fortement creusés entraînant une érosion quasi totale des  ressources du Fonds de régulation des recettes (FRR) et une baisse sensible des réserves de change». Il a ajouté que «l'activité économique a conservé la même cadence par rapport à l'année dernière soutenue principalement par le maintien à un niveau élevé des dépenses publiques».

Ce constat tranche avec le discours du gouvernement qui assure toujours que la situation économique du pays est « maitrisée ». Même si, il est vrai, les autorités commencent ces derniers temps à reconnaître que «la situation est difficile».

Ce discours de vérité du gouverneur de la Banque d'Algérie a toujours été tenu par l'ancien responsable de cette institution, Mohamed Laksaci. Même si dans le cas de Loukal, le discours est truffé d'euphémismes pour ne pas fâcher le gouvernement.

Essaïd Wakli

Cet article Economie nationale/ La Banque d'Algérie dresse un tableau peu rassurant est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 31, 2017 at 09:44AM

lundi 30 janvier 2017

WEB TV. Décryptage. Le logement cher en Algérie/ Les véritables raisons

Cet article WEB TV. Décryptage. Le logement cher en Algérie/ Les véritables raisons est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 10:20PM

Une nouvelle usine de montage à Saïda/ Après Hyundai, Tahkout s’offre Suzuki

Le groupe que dirige l'homme d'affaires Mahieddine Tahkout réalise une nouvelle bonne affaire et s'offre une autre marque de voiture dont il va se charger de monter ses véhicules en Algérie. En effet, le groupe Tahkout commencera le montage et assemblage des véhicules de la marque japonaise Suzuki à partir du mois de mars prochain, à Saïda, à l'ouest du pays. 

C'est le wali de Saida, Djelloul Boukarabila, qui a fait cette annonce. Ce haut responsable a reçu, dimanche, une délégation composée du représentant du groupe Tahkout et de membres de la firme japonaise Suzuki pour débattre des dispositions du lancement du montage de ce type de véhicules.  L'usine de montage sera basée au site de l'ex-Prométal. Le projet devra générer, dans une première étape, 400 emplois au profit des jeunes de la région, a ajouté le wali. D'ores et déjà, neuf ingénieurs étrangers ont lancé, la semaine dernière, les travaux de terrassement du terrain où sera réalisée l'usine de montage de véhicules.

Le groupe Tahkout va procéder au montage de deux modèles de véhicules touristiques la Suzuki Alto et la Swift durant le premier trimestre de l'année en cours. Pour rappel, le premier véhicule Hyundai, monté en Algérie, est sorti de la chaîne de production de l'usine du groupe Tahkout à Tiaret, le 29 octobre 2016. Quatre modèles devront sortir des trois lignes de montage de cette usine : il s'agit notamment de l'Elantra, Santa Fe, de l'i10 et de l'emblématique Accent, dans sa version RB. Le coût initial de l'usine est estimé à 450 millions de dollars, selon Tahkout, dont 40% en fonds propres. Il est à signaler que le montant de l'investissement consenti par Tahkout pour réaliser l'usine de Suzuki à Saïda n'a pas encore été révélé.

Cet article Une nouvelle usine de montage à Saïda/ Après Hyundai, Tahkout s'offre Suzuki est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 04:36PM

Revenus financiers occultes/ 172 Algériens ont triché et détourné l’équivalent de 22 millions d’euros

Durant les 6 premiers mois de 2016, au moins 172 algériens ont utilisé des revenus financiers occultes pour procéder à l'acquisition de propriétés immobilières ou d'autres biens dont la valeur est très élevée et ne correspond pas au niveau des revenus déclarés. Ces Algériens ont été débusqué par les services de la direction générale des impôts (DGI). Ils ont été contraint de verser  2,26 mds de DA de pénalités, soit l'équivalent de 22 millions d'euros. 

C'est du moins ce qu'indique  le directeur par intérim des recherches et vérifications (DRV) à la DGI,  Belkacem Arab Yacef. Ce dernier a expliqué que  grâce à la vérification approfondie de situation fiscale d'ensemble (Vasfe), une procédure destinée aux personnes physiques exclusivement, , 172 dossiers ont été vérifiés et 2,26 mds de DA de pénalités ont été constatées.  "Si l'on constate qu'un chef d'entreprise ou un salarié se mettait à acquérir des biens dont la valeur est très élevée et ne correspond pas au niveau des revenus déclarés, on peut intervenir par le biais de la Vasfe", explique enfin Belkacem Yacef selon lequel les opérations de contrôle fiscal effectuées durant le premier semestre 2016 par la Direction générale des impôts (DGI) ont porté sur 17.685 affaires et transactions avec un montant de 21,5 milliards de DA de droits et pénalités, soit l'équivalent de 210 millions d'euros.

 

Cet article Revenus financiers occultes/ 172 Algériens ont triché et détourné l'équivalent de 22 millions d'euros est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 04:00PM

Histoire/ Des personnalités demandent aux candidats à la présidentielle française de reconnaitre les crimes coloniaux

Des historiens, sociologues et hommes politiques algériens et français ont signé, aujourd'hui, une pétition, initiée par l'universitaire Olivier Le Cour Grandmaison, demandant à l'Etat français, notamment les candidats à la prochaine élection présidentielle, de reconnaître les crimes coloniaux commis par la France.

«Nous demandons aux plus hautes autorités de l'Etat et aux candidat(e)s à l'élection présidentielle qu'ils se prononcent pour la création d'un lieu du souvenir à la mémoire de celles et ceux qui furent assassinés, l'ouverture de toutes les archives relatives à ces différents événements et la reconnaissance de ces crimes de guerre et de ces crimes d'Etat. C'est ainsi que justice sera rendue aux héritiers de l'immigration coloniale et post-coloniale, et que les discriminations mémorielles qui les affectent toujours pourront être combattues. Enfin, de tels actes permettront à tous les Français(e)s de mieux connaître cette histoire singulière», indique-t-on dans cette pétition signée jusque-là par une centaine de personnes, dont l'historien Gilbert Meynier, l'homme politique Olivier Besancenot, l'éditeur François Gèze, le député Noël Mamère, la sociologue Fatma Oussedik, mais aussi par le professeur El Korso Mohamed et Abdelhamid Salakdji, président de la Fondation du 8 mai 1945.

Les signataires ont particulièrement cité les massacres de Thiaroye au Sénégal (décembre 1944), ceux de Sétif, Guelma et Kherrata en Algérie, le 8 mai 1945.  «Populations 'indigènes' soumises au travail forcé, dispositions racistes et d'exception – codes de l'indigénat, internement administratif, responsabilité collective, etc… –  imposées aux colonisés qui, dans leur écrasante majorité, n'étaient pas considérés comme des citoyens mais comme des 'sujets français' jusqu'à la libération, déportations, exécutions sommaires et massacres; autant de pratiques qui ont été constitutives de la construction et de la défense de l'empire colonial français. Les massacres de Thiaroye au Sénégal (décembre 1944), ceux de Sétif, Guelma et Kherrata en Algérie (8 mai 1945) et leurs dizaines de milliers de morts, en témoignent sinistrement», indique-t-on encore dans ce texte.

Les candidats français à la présidentielles s'engageront-ils à reconnaître ces crimes coloniaux ? Peu évident.

Elyas Nour

Cet article Histoire/ Des personnalités demandent aux candidats à la présidentielle française de reconnaitre les crimes coloniaux est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 03:40PM

Visé par une enquête de la gendarmerie/ Le charlatan Belahmar dans de sales draps

Les investigations menées par le groupement territorial de la gendarmerie nationale de la wilaya de Relizane, après la mise sous scellés de la  "clinique" du charlatan Abou Muslim Belahmar en décembre dernier, ont révélé de nombreux délits.    

Après analyse des échantillons prélevés à l'institut de criminologie de Bouchaoui (Alger), la gendarmerie nationale a répertorié un certain nombre d'éléments compromettants pouvant valoir de lourdes sanctions au "raqi".

Les preuves collectées mettent en évidence que l'association «Bachaïr El Chiffa» (promesses de guérison), dirigée par "cheikh" Belahmar se livrait à la «pratique illégale de la médecine, pratique d'une activité médicale et pharmaceutique dans des locaux non conformes à la réglementation en vigueur, commercialisation illégale de médicaments non homologués et dépôt de substances médicamenteuses dangereuses sur la voie publique».

Massi M.

Cet article Visé par une enquête de la gendarmerie/ Le charlatan Belahmar dans de sales draps est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 03:26PM

Terrorisme/ Le Maroc accuse indirectement l’Algérie de tentative de déstabilisation

Suite au démantèlement d'une cellule terroriste active sur le territoire marocain, les autorités du royaume chérifien accusent l'Algérie de jouer le rôle de passerelle au profit de groupes terroristes projetant de déstabiliser leur pays.  

Le directeur du Bureau central d'investigations judiciaires marocain, Abdelhak EL Khayam, a, affirmé, dimanche, lors d'un point de presse, que «les armes saisies auprès de la cellule terroriste, démantelée vendredi dernier, ont été introduites au Maroc via ses frontières avec l'Algérie ». M. EL Khayam a mis l'accent sur le fait que cette cellule terroriste, affiliée à Daech, a rejoint le territoire marocain depuis la Libye en passant par l'Algérie.

Toujours selon le même responsable, la cellule composée de de sept membres avait pour cibles des personnalités politiques, des ambassades ainsi que des sites touristiques, soulignant que  ces terroristes «projetaient de semer la terreur dans le pays et porter atteinte à la confiance des citoyens en les dispositifs sécuritaires marocains».

Pour l'instant aucune réaction officielle n'a été enregistrée du coté algérien.

Massi M.

Cet article Terrorisme/ Le Maroc accuse indirectement l'Algérie de tentative de déstabilisation est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 03:14PM

Allocation touristique/ “Quand nous aurons des touristes, nous donnerons plus de 130 euros aux Algériens”

C'est net et précis. L'allocation touristique qui permet aux Algériens de toucher des devises pour voyager à l'étranger ne sera pas augmentée dans un futur proche. Le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Loukal, a expliqué ce lundi, lors d'une séance plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN), que l'Algérie a besoin de touristes étrangers pour pouvoir espérer une augmentation de cette allocation touristique. 

Répondant aux députés qui ont fustigé le fait que l'allocation touristique en Algérie ne dépasse guère 15.000 dinars algériens (moins de 130 euros) alors qu'elle est de 2.600 euros en Tunisie et de 3.000 euros au Maroc, il a rappelé que "ladite allocation dans ces pays est alignée sur les recettes de leur secteur touristique". "Quand nous aurons un secteur touristique fort, nous augmenterons cette allocation", a-t-il affirmé.

Par ailleurs, selon Mohamed Loukal, le phénomène du marché parallèle des changes est dû à l'existence d'une économie parallèle et à l'évasion fiscale qu'il importe de prendre en charge en permanence. "L'ouverture de bureaux de change ne règlera pas le problème du marché parallèle", a-t-il estimé en dernier lieu.

Cet article Allocation touristique/ "Quand nous aurons des touristes, nous donnerons plus de 130 euros aux Algériens" est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 03:09PM

Hydra/ Le fils du consul général d’Algérie à Paris rachète une énorme Villa pour plus de 40 milliards et la… rase

Les plus belles villas du quartier de Hydra disparaissent les unes après les autres. Les promoteurs les plus puissants du pays se disputent ces belles demeurent pour les racheter. Oui, mais ces villas prestigieuses, datant de l'époque coloniale, qui épatent par leur achitecture étincelante,  ne sont nullement conservées. Certaines d'entre elles sont tout bonnement rasées pour laisser de la place à nouveaux immeubles qui dénaturent les quartiers résidentiels de Hydra. 

L'ancienne villa de la famille Temmam illustre parfaitement le destin tragique réservé à ces belles demeures d'Alger. Située au coeur de Hydra, cette grande villa réputée pour son jardin luxuriant, sa piscine majestueuse et son décor pittoresque, a été rachetée en août par un certain Djamel Abbou, le fils de Mohamed Kebir ADDOU, l'actuel Consul Général d'Algérie à Paris, et ancien wali d'Alger. Cet acquéreur a dépensé plus de 40 milliards de centimes pour s'offrir la belle villa de la famille Temmam. Selon nos sources, lors des négociations menées avec les anciens propriétaires de la villa, cet acquéreur s'est engagé à ne pas porter préjudice à l'aspect historique et architectural de cette maison qui fut naguère un lieu de rendez-vous incontournable pour toute l'intelligentsia d'Alger.

Malheureusement, cet homme d'affaires ne va guère respecté cet engagement et entreprend rapidement des travaux pour raser entièrement la villa créant ainsi un énorme cratère au beau milieu d'Hydra qui va susciter toutes les controverses. Aujourd'hui, un énorme immeuble s'élève vers le ciel à la place de la villa des Temmam. Les services de l'urbanisme n'ont pas manifesté leur désaccord face à ce "massacre" urbain et aucune autorité n'a enquêté sur les conditions obscures dans lesquelles ce chantier a été érigé.

Cet article Hydra/ Le fils du consul général d'Algérie à Paris rachète une énorme Villa pour plus de 40 milliards et la… rase est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 01:53PM

Attentat contre une mosquée à Québec (Canada)/ Deux Algériens parmi les victimes

Deux Algériens ont péri dans l'attentat qui a ciblé la mosquée affiliée au centre culturel islamique de Québec (Canada) dimanche soir. L'attaque terroriste a fait six victimes. Deux individus soupçonnés d'être les auteurs de la fusillade sont actuellement en garde à vue.        

Karim Hassan et Khaled Belkacemi sont les deux victimes d'origine algérienne qui ont péri dans l'attaque meurtrière ayant touché, hier, le centre culturel islamique de Québec, dans la province éponyme du Canada, a appris le quotidien El Watan citant une source proche de l'association chargée de gérer le centre culturel auquel est affilié le lieu de culte.

Quartes autres personnes, d'origine marocaine et malienne, ont également péri dans cette fusillade orchestrée par deux individus cagoulés.

La police canadienne a arrêté, hier dans la nuit, deux individus suspectés d'être les auteurs de cet attentat. Après avoir été interrogés, les suspects, dont l'un est d'origine marocaine, ont affirmé qu'ils étaient étudiants à l'université de Laval, a indiqué la radio publique canadienne.

M.M.

Cet article Attentat contre une mosquée à Québec (Canada)/ Deux Algériens parmi les victimes est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 01:33PM

De l’urgence du filet social   Par Hassan Haddouche

Le système de protection sociale algérien est devenu largement obsolète. Le gouvernement  le sait  très bien : un projet de réforme est à l'étude depuis plusieurs années. Mais fidèle à ses (mauvaises) habitudes, il prend tout son temps et préfère travailler en vase clos, en laissant filtrer les informations au compte goutte, plutôt que d'associer les partenaires sociaux.

En Algérie, l'érosion du pouvoir d'achat de la plus grande partie de la population est une réalité sensible depuis maintenant plusieurs  années . Dans un pays où le processus de  différenciation sociale se renforce en raison de la diversification de l'économie aussi bien que du développement du secteur privé, la perception des inégalités est également de plus en plus forte. C'est dans ce contexte général qu'une partie importante de la population est rendue de plus en plus vulnérable par la réduction des opportunités d'emploi ainsi que par l'absence d'un système de protection sociale ciblant spécifiquement les plus défavorisés. Une vulnérabilité croissante qui n'est surement pas étrangère aux troubles sociaux qui se développent dans notre pays.

Des transferts sociaux «généreux»…

Confrontés à cette situation nouvelle pour eux, les pouvoirs publics algériens ne manquent  aucune occasion de rappeler au cours des derniers mois que les transferts sociaux sont très importants dans notre pays. M .Tebboune vient d'ailleurs, voici quelques jours, de résumer de façon un peu caricaturale cette attitude en affirmant, à propos des menaces (extérieures selon lui) qui pèsent sur la stabilité de notre pays, que «c'est l'exemplarité de l'Algérie et sa générosité avec son peuple qui dérangent les puissances étrangères».

De façon plus sérieuse, le ministre des Finances, M. Hadji Baba Ammi, a indiqué de son côté voici quelques semaines, devant les députés, que les transferts sociaux coûteront la bagatelle de 1631 milliards de dinars (près de 16 milliards de dollars) au budget de l'Etat en 2017. Ces dépenses sociales (habitat, santé, éducation, transport, etc) sont complétées par des subventions énergétiques qui ne sont pas inscrites au budget et dont le montant, estimé ces dernières années à plus de 15 milliards de dollars, est à peu près identique. Soit au total largement  plus de 30 milliards de dollars.

…Mais des subventions inadaptées

Et c'est bien là le problème. L'État algérien s'appuie de façon croissante sur des subventions généralisées pour partager la richesse du pays en pétrole et en gaz avec ses citoyens. Si cet objectif est noble et si toutes les subventions ne sont pas néfastes, tenter de redistribuer les revenus au moyen de subventions non ciblées présente de nombreux inconvénients. Mis en place dans les années 70, remis en cause au début des années 90 par les accords avec le FMI, le système des subventions s'est reconstitué et généralisé de nouveau depuis près  de 25 ans. Au point que son coût financier véritable était encore inconnu voici quelques années, et que c'est seulement depuis  2016, que le coût des subventions énergétiques pour la collectivité  figure en annexe à la loi de finance.

Le diagnostic sur ce système de subvention est aujourd'hui généralement partagé. Il absorbe une part croissante des ressources de la collectivité dans un contexte, qui semble durable, de réduction des ressources de l'Etat. Il favorise la surconsommation et le gaspillage des produits concernés. Il arrose enfin, à travers un vaste réseau de contrebande,  un bassin géographique important au-delà des frontières du pays.

La première des «réformes de structure» de l'économie algérienne

Depuis de nombreuses années, les pouvoirs publics algériens ont été   invités de façon de plus en plus pressante, aussi bien par les institutions multilatérales que par de nombreux acteurs nationaux, à revoir leur système de subventions. L'importance de la rente pétrolière au cours de la décennie écoulée a permis de différer cette révision. Elle est devenue désormais inévitable en raison de la diminution brutale et probablement durable des revenus pétroliers du pays.

Il ne s'agit  plus désormais de réaliser un simple «ajustement» des prix de certains produits en attendant des jours meilleurs sur le front des prix pétroliers, mais au contraire de faire démarrer le premier des «grands chantiers de réforme» qui attendent l'économie algérienne de l'après-pétrole. L'idée qui sous tend cette réforme est qu'«on peut faire mieux avec moins de ressources financières en élaborant un système de transferts monétaires directs en direction des couches les plus défavorisées» et qu'il est souhaitable de «subventionner les ménages plutôt que les produits .

Le gouvernement prend tout son temps

Fin 2015 déjà, Abderrahmane Benkhalfa, avait indiqué que le gouvernement réfléchissait au ciblage des subventions. Un sujet "sensible et compliqué" avait  affirmé l'ancien  ministre des Finances, M. Benkhalfa, qui avait annoncé à cette occasion qu'un chantier avait été lancé depuis quelques mois impliquant trois départements (la Solidarité nationale, l'Office national des statistiques et le ministère des Finances) dans l'objectif de mettre en place un système d'aide et d'appui «plus équitable et plus juste», ajoutant que le gouvernement est «en train de réfléchir pour aboutir, d'ici 2 à 3 ans, au ciblage des subventions».

Début 2017, le gouvernement continue de réfléchir. Dans une interview récente à l'APS, le nouveau ministre des finances, M. Hadji Baba Ammi, estime que le dispositif des subventions généralisées n'est pas «équitable», d'où l'idée de revoir de fond en comble cette politique volontariste de l'Etat qui abreuve à la fois riches et nécessiteux, entreprises et ménages, Algériens et peuples voisins. Il affirme que «le gouvernement compte, à l'avenir, consacrer ces subventions aux nécessiteux à travers un nouveau système qui est en cours de préparation, en  soulignant que «la politique de subventions serait maintenue pour tous jusqu'au parachèvement de ce système». Rien de bien nouveau donc, le gouvernement prend tout son temps et fidèle à ses ( mauvaises) habitudes, il travaille en vase clos en oubliant d'associer les partenaires sociaux et en ne laissant filtrer qu'une information minimale et au compte-gouttes.

Un fichier national pour les  plus démunis 

Le temps presse pourtant. Il y a désormais urgence et beaucoup d'experts nationaux et d'institutions internationales invitent, depuis de nombreuses années, l'Algérie à moderniser son «filet social» dans le but de mieux cibler les transferts sociaux et déconnecter la politique de redistribution des revenus du système des prix à la consommation.

Pour tenter de fixer les idées sur les enjeux associés à ce futur filet social, dans le «plan d'urgence», justement, rendu public voici un peu plus d'un an par le  collectif  Nabni, l'un des chantiers prioritaires identifiés par les experts algériens concerne la refonte du système de redistribution sociale. A l'image de beaucoup d'expériences considérées comme «réussies» (Brésil, Indonésie, Mexique, Turquie, Maroc…), cette réforme devrait s'appuyer d'abord, selon le think tank algérien, sur l'identification très exhaustive des ménages nécessiteux à travers la mise en place d'un fichier national qui mettrait à contribution dans une première étape les 250 cellules de proximité de l'Agence de Développement Social (ADS).

La mise en place de ce nouveau filet social passerait ensuite par l'élaboration d'un programme de «transferts monétaires directs» ciblant différentes tranches de la population (handicapés, chômeurs, familles sans revenus, veuves, etc). Dans certains cas, ces aides monétaires directes pourraient être adossées à des programmes de développement humain en matière de santé, d'éducation ou de formation. Au total, le collectif Nabni estime que pas moins de 30% des ménages algériens, soit près de 15 millions de personnes, pourraient bénéficier à un titre ou un autre de ces transferts monétaires.

Cet article De l'urgence du filet social   Par Hassan Haddouche est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 12:57PM

Opposition/ Sofiane Djilali demande la sortie du MSP de l’ISCO

Les divergences  entre les partis de l'opposition sortent au grand jour. Après des déclarations contradictoires sur le sort de l'ISCO (Instance de suivi et de coordination de l'opposition), c'est autour de Sofiane Djilali, président de Jil Jadid, de s'attaquer publiquement au président du MSP (Mouvement de la société pour la paix). «Je demande solennellement au MSP de quitter l'ICSO », a en effet écrit le jeune dirigeant politique sur les réseaux sociaux.

La demande de Sofiane Djilali intervient comme réponse aux activités du leader du parti islamiste qui s'active, ces dernières semaines, en vue d'une large participation aux élections législatives. Plus, Abderrezak Makri a insinué à plusieurs reprises que son parti pourrait intégrer un éventuel gouvernement d'union nationale. Une option devenue de plus en plus de mise depuis qu'il s'est rapproché de son ancien alli, Abdelmadjid Menasra qui est revenu au bercail.

Avant Sofiane Djilali, d'autres personnalités de l'opposition ont évoqué l'inutilité de la poursuite des activités de l'ISCO. C'est le cas de Lakhdar Benkhellaf, un des lieutenants d'Abdellah Djaballah, qui avit prédit la mort de l'ISCO. Il a donné comme preuve le fait que certains membres de cette instance, à l'image d'Ali Benflis, aient décidé de boycotter l'élection législative. Une approche logique dans la mesure où l'ISCO, au même titre d'ailleurs que la CLTD (Coordination nationale pour les libertés et une transition démocratique), est basée sur le rejet de toutes les initiatives du système. Or, la majeure partie des partis de l'opposition a accepté de participer au scrutin législatif. Une démarche qui casse donc toute initiative visant à créer  un rapport de force» en faveur d'un changement de système.

Essaïd Wakli

Cet article Opposition/ Sofiane Djilali demande la sortie du MSP de l'ISCO est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 12:30PM

FAF/ Des présidents de clubs préparent une motion de soutien à Raouraoua

Des présidents de clubs professionnels de football sont en train de préparer une motion de soutien au président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, qui sera soumise à l'assemblée générale prévue au mois de mars prochain.

Selon le quotidien arabophone, Echourouk, c'est le président de l'ES Sétif, Hacen Hammar, et le responsable de la section football du MC Alger, Omar Ghrib, qui ont lancé cette initiative, l'objectif étant de réunir les signatures des 32 clubs professionnels des Ligues, 1 et 2, mais aussi des clubs amateurs évoluant dans les ligues inférieurs ainsi que les présidents des différentes ligues, régionales ou wilayales.

Il faut dire que face aux critiques qu'il a essuyées suite aux résultats de l'équipe nationale lors de la CAN 2017, Raouraoua a fortement besoin de ces «voix» prépondérantes dans le microcosme footballistique algérien.

L'AG ordinaire de la FAF aura lieu à la mi-mars. Les élections sont prévues fin mars ou début avril. Malgré la polémique, le président de la FAF, qui ne s'est pas encore prononcé de manière officielle sur sa candidature pour sa propre reconduction, a affirmé qu'il restera en poste jusqu'à la fin de son mandat.

Après un premier mandat effectué entre 2001 et 2005, Raouraoua s'est représenté en 2009 et par la suite en 2013, où il a été élu à l'unanimité et à main levée. Jusque-là seul le porte parole du NA Hussein Dey, Mourad Lahlou, a annoncé sa candidature pour la présidence de la FAF.

Elyas Nour  

Cet article FAF/ Des présidents de clubs préparent une motion de soutien à Raouraoua est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 30, 2017 at 12:20PM

dimanche 29 janvier 2017

Football/ Un club chinois veut racheter Islam Slimani pour un salaire record de 300 mille euros par semaine

Le club Chinois Tianjin Quanjan a fait une offre record pour racheter le joueur algérien Islam  Slimani. Cependant,  les dirigeants du club anglais de Leicester City ont refusé de céder la perle de leur secteur offensif. Et pourtant, selon plusieurs sources, les chinois étaient prêts à débourser plus de 38 millions de livres pour s'offrir les services de notre attaquant national. 

Sky Sports News HQ croit savoir qu'il faudrait une offre extraordinaire pour que Leicester accepte de libérer Slimani, surtout que le club champion de la Premier League l'année dernière, tente d'engager de nouveaux joueurs avant la date limite des transferts fixée pour  mardi  prochain.

Le club de la Super Ligue chinoise, qui tente d'obtenir le transfert de plusieurs joueurs de Premier League, dont l'attaquant français  Dimitri Payet qui évolue à West-Ham, est  prêt à  rémunérer  Slimani 300 000 £ par semaine !  Selon la chaîne sportive Britannique d'information continue Sky News sport, Tianjin affiche un intérêt particulier pour l'International Algérien Islam Slimani, qui a inscrit  six buts en 16 matches depuis son arrivée en Angleterre. Slimani qui a  participe aux côtés  des Fennecs à la coupe d'Afrique des Nations 2017,  regagnera son club Leicester  cette semaine après élimination précoce des Verts au premier tour de la CAN 2017.

 

De Londres :  Boudjemaa Selimia

Cet article Football/ Un club chinois veut racheter Islam Slimani pour un salaire record de 300 mille euros par semaine est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 08:50PM

Traçabilité et authentification/ De l’encre suisse pour sécuriser le Dinar et les passeports algériens

SICPA est une société Suisse quasi centenaire, fondée en 1927 à Lausanne, elle est aujourd'hui Leader mondial dans les encres de sécurité appliquées sur les billets de banque, elle sécurise la plupart des billets de banque en circulation sur la planète notamment le Dollar le Yuan et l'Euro. En Algérie l'encre SICPA est utilisée pour la sécurisation du Dinar ainsi que celle des passeports. SICPA est aussi Leader mondial dans la traçabilité des produits ; pour continuer son développement sur le marché africain, elle a choisi de s'associer au Leader algérien Condor Electronics.

Le Groupe CONDOR annonce son nouveau partenariat avec le Leader Suisse de la traçabilité et de l'authentification des produits : SICPA, créant ainsi une société commune en Algérie au nom de CONDOR SICPA.

 

Condor SICPA aura pour mission la mise à disposition de l'Etat et des industriels d'une plateforme de traçabilité permettant l'authentification des produits et leur traçabilité assurant ainsi leur origine et conformité. L'enjeu est de taille, nous parlons ici en tout premier lieu de la protection des consommateurs au travers de la lutte contre la non-conformité et de la contrefaçon mais aussi de la protection des opérateurs légitimes en Algérie.

 

Les produits concernés seront marqués à la production ou à l'importation au moyen d'une encre de haute sécurité, ils disposeront d'un code d'identification unique, tel une plaque minéralogique. Ces codes seront enregistrés dans une base de données sécurisée et pourront être lus par des téléphones mobiles type smartphones au moyen d'une application disponible sur le Condor Store pour les consommateurs ou par des outils dédiés pour les autorités. Les consommateurs et les opérateurs économiques seront ainsi responsabilisés et participeront pleinement à la lutte contre la contrefaçon. Ils disposeront d'une information certaine sur l'origine des produits en circulation sur le marché Algérien et auront la possibilité de dénoncer tous cas de non-conformité ou de contrefaçon.

Cet article Traçabilité et authentification/ De l'encre suisse pour sécuriser le Dinar et les passeports algériens est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 04:27PM

Une première au Moyen-Orient et Afrique du Nord/ La technologie 8k disponible en Algérie

Condor propose différents modèles et technologies d'écrans qui s'adaptent à tous les besoins et attentes des utilisateurs. La société est leader sur ce marché détenant plus de 50 % de part de marché en 2016.

 

En 2016, Condor Electronics lance la commercialisation de son Téléviseur OLED et devient ainsi le premier producteur algérien à mettre à disposition des consommateurs, le summum de la technologie d'affichage, plus qu'un LED : un OLED. Présenté lors de la Foire de la Production Algérienne 2016, et commercialisé depuis Septembre dernier, le CONDOR OLED TV est disponible en Curved 55'' et Curved 65''. A l'occasion de cette cérémonie, Condor Electronics profite de la présence de ses partenaires Medias, Showrooms et revendeurs, mais aussi collaborateurs les plus fidèles ; pour annoncer leur toute dernière nouveauté : toujours à la pointe de la technologie, et avec une longueur d'avance : Condor est le premier constructeur africain à développer la technologie 8k : 4 fois plus de pixels que la 4K. 4 fois plus de détails que la 4K.  4 fois plus macro que la 4K.

 

Voici les caractéristiques des nouveaux téléviseurs équipés de la technologie 8K : 

 

1-Design en métal, contemporain, premium, robuste.

2-Touches tactiles et télécommande intelligente et rechargeable.

3-Carte mère externe, pour suivre les évolutions hardwares sans pour autant changer de

Panel.

4-Barre de son 50 Watts, pour une ambiance sonore.

 

5-HDR10 : Codage de couleurs 10 bits avec luminosité optimale, couleurs et niveaux de

Détails supérieurs aux sources SDR.

 

6-Local Dimming : Extinction partielle de 244 zones de rétroéclairage indépendamment,

permettant d'optimiser les rendus noirs affichés et bénéficier d'un contraste encore plus avancé,

améliorant le rendu HDR.

 

7-Wide Color Gamut : Technologie permettant la couverture de 100 % de l'espace de couleur NTSC.

 

8-Quantum Dots, ou points quantiques : Structures cristallines infiniment petites formant un film

Quantum Dots, ce qui offre un spectre de couleur pur.

 

9-Résolution 8K : 7 680 pixels en largeur par 4 320 pixels en hauteur, qui représente 80 fois la SD, 36

fois la HD, 16 fois la Full HD et 4 fois l'Ultra HD/4K,

 

 

Cet article Une première au Moyen-Orient et Afrique du Nord/ La technologie 8k disponible en Algérie est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 04:15PM

Affaire Touati Merzoug/ Le blogueur encourt jusqu’à 25 ans de prison 

Touati Merzoug, le blogueur arrêté à Béjaïa, le 18 janvier dernier, pour "intelligence avec une puissance étrangère", se trouvant actuellement sous mandat de dépôt à la prison d'El Khemis, dans la même ville, encourt une peine d'emprisonnement allant de 10 à 20 ans en plus d'une peine supplémentaire allant de un à cinq ans, a affirmé son avocat Me Ikken Sofiane.

Me Ikken Sofiane, membre  de la Ligue algérienne des droits de l'homme (LADDH), a expliqué dans un entretien accordé à Radio Gouraya, que son client a été inculpé en vertu de l'article 71 du Code pénal, alinéa 3, prévoyant une peine de 10 à 20 ans de prison pour quiconque se rend coupable «de contact avec les agents d'une puissance étrangère, d'intelligence de nature à nuire à la situation diplomatique ou militaire de l'Algérie».

La même source a ajouté que le blogueur est également accusé d' «incitation au port d'arme contre l'État et incitation à l'attroupement armé contre l'État », un chef d'accusation pour lequel il encoure une peine supplémentaire de un à cinq ans de prison.

Toujours selon Me Ikken, le jeune blogueur a été interrogé des heures durant pour établir un lien présumé avec Slimane Bouhafs, issu du même village que le prévenu (Bousselam dans la wilaya de Setif), emprisonné en septembre pour « atteinte à la religion musulmane ».

Rappelons que le blogueur avait mis en ligne le 9 janvier dernier une vidéo dans laquelle il interroge un diplomate israélien sur une éventuelle manipulation des émeutes qui ont secoué l'Algérie début janvier en cours par son pays.

Massi M.

Cet article Affaire Touati Merzoug/ Le blogueur encourt jusqu'à 25 ans de prison  est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 03:48PM

États-Unis/ L’Algérie sommée de reprendre ses ressortissants expulsés

L'Algérie a été mise en garde par la nouvelle administration Trump dans le cadre de sa politique de la lutte contre l'émigration clandestine. Refusant d'accueillir ses ressortissants émigrés clandestinement aux États-Unis, l'Algérie a été classée dans une liste contenant 23 pays sommés de reconsidérer leur position.

L'Algérie ainsi que 23 autres pays, dont l'Afghanistan, la Chine, l'Iran, l'Irak, la Libye, la Somalie et le Zimbabwe,  ont été mis en garde par la première puissance mondiale considérant indiscutable le fait que ces pays doivent accepter d'accueillir leurs ressortissants présents illégalement sur le territoire américain, a rapporté jeudi le Los Angeles Times.

Comme promis durant sa campagne électorale, le président américain œuvre actuellement à «nettoyer» les États-Unis des étrangers en situation irrégulière qu'il a d'ailleurs qualifié de « vermine ».  Pour que sa nouvelle politique de lutte contre l'immigration clandestine, s'apparentant de plus en plus à une opération d'épuration ethnique d'un nouveau genre, soit optimale, le président américain a mis en place un système qui élargit la liste des individus destinés à l'expulsion. En Plus de ces 23 pays, l'administration américaine a ajouté d'autres critères susceptibles de toucher un maximum d'émigrés clandestins. Ainsi, les individus accusés de crimes et délits  peuvent être tout simplement expulsés sans procès.

Mettant en avant les impacts négatifs sur la sécurité des États-Unis, la nouvelle administration a souligné que «la justice américaine a affirmé que les ressortissants étrangers accusés de crimes ne peuvent être détenus indéfiniment», pour l'administration Trump, ces gens doivent tout simplement renter dans leur pays d'origine.

La nouvelle administration américaine  n'a, pour l'instant, pas apporté de détails quant aux mesures qui vont être prises pour contraindre ces pays à reconsidérer leur position. Cependant, une nouvelle proposition de loi introduite au Congrès américain par le parti républicain conforte l'idée d'une déportation massive des émigrés clandestins. Cette loi vise en somme, à retirer l'aide américaine et les visas de voyage vers les États-Unis aux pays «refusant ou retardant de manière déraisonnable» la réception de leurs immigrés clandestins expulsés du territoire américain.

Massi M.

 

Cet article États-Unis/ L'Algérie sommée de reprendre ses ressortissants expulsés est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 03:39PM

Location ou vente/ Ne ratez pas les meilleures affaires de l’immobilier à Béjaïa et Alger

Comme chaque semaine, la rédaction d'Algérie-Focus vous sélectionne les meilleures affaires de l'immobilier dans plusieurs villes à travers le pays. Location, vente, acquisition de terrain, Algérie-Focus et le portail spécialisé Sekeni.com vous propose les annonces les plus alléchantes de la semaine. Des affaires immobilières qu'il ne faut surtout pas rater car les prix qui sont proposés sont inédits. 

Et c'est à  Béjaïa que nous allons commencer notre tournée des bonnes affaires.  l'agence Adjlia immobilier vend un F3 à Bacaro dotée d'une superficie de 72M²  et situé au 7ème étage d'un immeuble équipé d'un ascenseur. Pour connaître tous les détails sur cette annonce, cliquez sur ce lien.  Un autre bel appartement est proposé à la location à Béjaïa. Il s'agit d'un joli F3 situé au quartier Seghir. Son prix est pratiquement imbattable. Pour connaître tous les détails sur cette annonce, cliquez sur ce lien. 

Les amateurs de belles maisons situées pied dans l'eau devront s'intéresser à ce terrain en vente à Saket, toujours à Béjaïa, d'une superficie de 4262 M² avec une très belle vue sur mer. Pour connaître tous les détails sur cette annonce, cliquez sur ce lien. 

A Alger, nous vous suggérons de vous intéresser à cette villa située au quartier Les Vergers. D'une superficie de 115 m², un seul étage de cette villa est constitué de 04 pièce, cuisine et petit jardin. Equipée de chauffage central,  tout est très bien fini dans cette villa sur laquelle vous pouvez tout savoir en cliquant sur ce lien.

Un autre niveau de villa est proposé à des prix abordables au Paradou, à Hydra.  Il s'agit de tout un appartement de type F4 avec une superficie de 157 m²  situé au RDC. Cuisine équipée, chauffage central, climatisation et, en plus, ce niveau de villa est totalement libre et n'attend que vous pour l'occuper. Pour connaître tous les détails sur cette annonce, cliquez sur ce lien.  Pour consulter toutes les autres bonnes affaires, une seule adresse s'impose : sekeni.com  

 

Cet article Location ou vente/ Ne ratez pas les meilleures affaires de l'immobilier à Béjaïa et Alger est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 02:08PM

Administration/ Des emplois fictifs par milliers

Cela n'arrive pas que chez les autres. Des milliers emplois fictifs ont, en effet, été créés dans de nombreuses wilayas du pays et de manière… quasi-légale.

La direction de l'emploi de Tipasa a annoncé, hier, qu'elle a pris la décision de «licencier» 1850 personnes bénéficiant du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle (DAIP) pour «escroquerie».  Il s'agit de jeunes embauchés dans ce cadre qui, dans les faits, ne se présentent jamais à leur travail tout en touchant, à la fin de chaque mois, cette mensualité de 15 000 dinars.

La direction de l'emploi de cette wilaya s'est rendu compte de la supercherie en effectuant des visites in situ, mais surtout en examinant de plus près leurs dossiers. Les principaux mis en cause sont les APC (25 d'entre elles sont impliquées) et la direction de la jeunesse et des sports. A titre d'exemple, une petite bibliothèque de la commune de Nadhor, dans lawilaya de Tipaza, emploie, sous ce type de contrats, 42 personnes, alors qu'il n'y en a qui travaillent effectivement.

Par ailleurs, trois maisons de jeunes de localités différentes sont constamment fermées alors qu'officiellement elles emploient 16 jeunes chacune.

Le licenciement de ces 1850 personnes a permis, indique la direction de l'emploi, d'économiser pas moins de 25 millions de dinars (2,5 milliards de centimes).

Ce phénomène sévit dans de nombreuses wilayas. Il faut dire que le recrutement «abusif» dans lecadre de ce dispositif a été «encouragé» par l'administration centrale, au temps de l'aisance financière par souci de maintien de la paix social. Aujourd'hui, austérité oblige, les responsables découvrent que des milliers de personnes perçoivent des salaires en restant chez elles.

Elyas Nour   

Cet article Administration/ Des emplois fictifs par milliers est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 01:59PM

Les sombres pratiques des barons de l’immobilier/ Pourquoi trouver un logement abordable est devenu si difficile en Algérie

Le pays est paralysé par la crise financière. Les caisses de l'Etat se vident. Les méga-projets sont à l'arrêt, mais les prix de l'immobilier demeurent toujours aussi chers et inaccessibles. Comment est-ce possible ? Certains acteurs de l'immobilier tentent de nous faire qu'il s'agit d'une conséquence de la fameuse loi de l'offre et de la demande. Ce qui est entièrement faux comme nous l'avions prouvé dans un précédent décryptage.  La réalité est beaucoup plus complexe car la spéculation immobilière se nourrit surtout des sombres pratiques de la corruption et du détournement des deniers publics. Explications. 

A Hydra, une banlieue chic d'Alger, le prix du m2 atteint aujourd'hui les 600 mille Da. De l'autre côté d'Alger, à Souidania, naguère une localité rurale et enclavée, le prix du m2 avoisine les 250 mille Da. En dépit de la crise qui suscite une rareté de la ressource financière, les prix de l'immobilier ne cessent de s'envoler et la galère est au rendez-vous lorsqu'il s'agit de louer ou d'acheter un logement. Loyers faramineux, pénuries, garanties trop exigeantes… Et pourtant, ce ne sont pas les lois qui manquent pour permettre à tous de trouver un logement décent en Algérie. Alors pourquoi un tel échec sur le terrain ? Une fatalité ?

La principale raison de la cherté du logement s'appelle tout bonnement : l'argent ! Oui, il y a trop d'argent qui circule dans l'immobilier et les promoteurs immobiliers trichent avec la réglementation pour ramasser des sommes faramineuses qui leur permettent de collectionner les projets et de vendre les logements aux prix fixés selon leur bon vouloir. Preuve en est, il est aisé de trouver un simple promoteur qui gère à lui-seul 8 à 7 projets immobiliers. Des projets qui nécessitent des milliards de Da. Des centaines, voire des milliers de logements en construction. Tous les experts et observateurs avertis de ce secteur le reconnaissent : les promoteurs immobiliers collectionnent les crédits bancaires qui leur sont accordés dans des conditions très peu transparentes.

Il faut au moins 2 milliards de Da, soit l'équivalent de 18 millions d'euros, pour bâtir une centaine de logements dans le cadre d'une promotion immobilière. La première banque avec laquelle travaille régulièrement les près de 6000 promoteurs algériens s'appellent la CNEP Banque. Selon la réglementation nationale, lorsqu'un projet immobilier est financé par un prêt bancaire, le promoteur n'a nullement le droit d'encaisser des liquidités de la part des acquéreurs avant la livraison finale des logements.

Malheureusement, cette disposition personne ne la respecte dans le secteur immobilier. Divers promoteurs immobiliers obtiennent des crédits bancaires pour lancer des chantiers. Mais avec l'argent de la banque, ils se lancent dans d'autres investissements pour mettre en place de nouveaux chantiers. Et pour les premiers logements qu'ils doivent construire, ils recourent à la fameuse opération : la vente sur plan. Grâce à cette formule, les promoteurs peuvent conclure des ventes avec un paiement modulé du prix du bien immobilier selon l'état d'avancement des travaux de réalisation dans les limites définies ci-après :  20% du prix de vente à la signature.  15% du prix de vente à l'achèvement des fondations. 35% du prix de vente à l'achèvement des gros œuvres y compris l'étanchéité, les cloisons extérieures et intérieures. 25% du prix de vente à l'achèvement des travaux en tous corps d'état, y compris le raccordement aux voies et réseaux divers ainsi que les aménagements extérieurs. Le paiement du solde 5% restant du prix de vente, doit intervenir au moment de l'établissement du procès-verbal de prise de possession. 

C'est avec cet argent que de nombreux promoteurs financent petit à petit les logements vendus au préalable dans le cadre de la vente sur plan. Et pourtant, la loi en vigueur encadre strictement ces transactions puisqu'il faut que le terrain soit la propriété du promoteur. Et le projet doit être également financé avec ses fonds propres. Mais comme les services de contrôle du ministère de l'Habitat et des diverses directions de l'urbanisme brillent par leur absence sur le terrain, une grande partie des promoteurs immobiliers trichent et détournent les crédits bancaires qui leur sont accordés dans le cadre de la vente libre des logements pour acquérir d'autres projets, d'autres terrains et lancer d'autres chantiers. Et pour chaque nouvelle promotion immobilière, les logements sont vendus suivant la fameuse formule de la vente sur plan.

Cette pratique créé une véritable bulle immobilière. Les prix des terrains rachetés en masse par les promoteurs deviennent inabordables. Les assiettes foncières constructibles deviennent un perle rare. Et au final les prix des logements explosent par la faute de cette spéculation continue. Et pourtant, un véritable rigoureux exercé par les services de l'Habitat ou l'inspection générale des domaines permettrait  aisément de mettre fin à ce trafic et donnera enfin lieu à une véritable régulation des prix de l'immobilier.

A cette pratique, il faut encore rajouter la problématique des certificats de conformité des logements qui sont délivrés dans des conditions obscures. Les organes de contrôle, comme le CTC, étonnent par leur passivité face à des projets immobiliers n'obéissant pas aux normes de l'urbanisme. Mais la pratique la plus sombre demeure celle de vendre des logements avec uniquement un certificat d'avancement des travaux. En clair, le logement n'est même pas  encore conforme, puisqu'il n'est pas encore acheté, et le promoteur se permet de le vendre à des acquéreurs qui ignorent les nuances de la réglementation. Pis encore, les notaires enregistrent sans protester les actes de propriété de ces logements douteux et les conservateurs fonciers publient ces actes dans le sommier des propriétés. Les pots-de-vin, le bakchich et les passe-droits sont plus forts que toutes les lois. Et aggravent davantage cette bulle immobilière qui empêche les Algériens les plus modestes de dormir sous un toit décent.

Cet article Les sombres pratiques des barons de l'immobilier/ Pourquoi trouver un logement abordable est devenu si difficile en Algérie est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 12:51PM

Finances/ Les réserves de changes poursuivent leur baisse

A l'image du Fond de régulation des recettes, les réserves de change du pays s'érodent. Selon le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Loukal, qui s'est exprimé ce matin à l'APN, le montant de ces réserves en devises n'est désormais que de 114,1 milliards de dollars.

Les réserves de change algériennes étaient de 121,9 milliards en septembre dernier, et de 192 milliards en juin de l'année écoulée. Six mois auparavant, l'Algérie disposait de 144,1 milliards de dollars de réserves. En une année, le pays a donc consommé plus de 30 milliards de dollars. A ce rythme, les réserves actuelles ne peuvent permettre que près de 4 ans d'importations dans le meilleur des cas.

Lors de récentes sorties médiatiques, le premier ministre, Abdelmalek Sellal, a assuré que les réserves de change ne descendront pas sous les 100 milliards de dollars avant 2019. Un objectif difficile à atteindre selon le rythme actuel des dépenses. Puisque pour l'année en cours, le gouvernement prévoit des importations qui coûteront 45 milliards de dollars. Or, les recettes des exportations ne seront, au maximum, que de 35 milliards de dollars.

Essaïd Wakli

Cet article Finances/ Les réserves de changes poursuivent leur baisse est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 11:12AM

Front social/ Des milliers de manifestants dans la rue à l’appel de l’intersyndicale

L'intersyndicale continue de mettre la pression sur le gouvernement pour réhabiliter l'ancien système des retraites. Des rassemblements ont eu lieu, hier samedi, dans quatre wilayas du pays. 

Plusieurs syndicats autonomes, dont ceux de l'éducation, de la santé et de l'administration, ont tenu, hier, des rassemblements devant les sièges des wilayas de Blida, Batna, Oran et Ouargla pour réitérer leur revendication d'abroger la nouvelle loi sur la retraite. Selon les représentants de l'intersyndicale, ce sont plus de cinq milles personnes qui ont bravé des conditions météorologiques exécrables pour faire valoir leurs droits à la retraite anticipée et sans condition d'âge, une intégration complète dans le processus d'élaboration de la nouvelle loi sur le travail et à une vie digne.

Malgré maintes tentatives d'apaisement, notamment à travers des rencontres organisées par le ministère du Travail, l'intersyndicale reste hermétique aux tentatives amadouement initiées par le gouvernement. Les propos du représentant du CNAPEST, Messaoud Boudiba, qui a expliqué que ces rassemblements sont une réponse forte aux tentatives vicieuses du gouvernement d'étouffer le mouvement, reflètent le malaise persistant.   Signe de la rupture complète avec l'approche du ministre du Travail, les syndicats autonomes ont appelé le président de la République à intervenir pour annuler les nouvelles dispositions modifiant le régime de retraite.

Rappelons que l'intersyndicale a rencontré le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale le 16 janvier dernier. Les discussions entre les deux parties ont tourné autour de la seule question du dialogue social. La Loi sur la retraite et les actions de protestation de l'intersyndicale ont été éludées.

Massi M.

Cet article Front social/ Des milliers de manifestants dans la rue à l'appel de l'intersyndicale est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 10:38AM

Crise libyenne/ Un sommet tripartite prochainement à Alger

Pour tenter de résoudre la crise libyenne, un sommet tripartite réunissant Abdelaziz Bouteflika, Abdelfettah El-Sissi et Béji Kaïd Essebsi se tiendra prochainement à Alger. C'est ce qu'indique le chef du mouvement islamiste tunisien, Rached Ghennouchi, dans d'une interview accordée au quotidien El Khabar.

Le chef du mouvement islamiste, qui a séjourné en Algérie la semaine dernière avant de recevoir Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet à la Présidence de la République, à Tunis, inscrit ce sommet dans le cadre de la médiation que mène l'Algérie dans le but de rapprocher les positions des factions en guerre en Libye. Selon lui, l'Algérie «entreprend» un travail dans le «but de rapprocher» les points de vues des différentes parties libyennes dans le but de parvenir à la «réconciliation et la paix». Pour cela, l'homme politique s'inspire de l'expérience algérienne.

Pour Rached Ghennouchi, les autorités algériennes ont «mis leur poids» dans la balance pour rapprocher les antagonistes libyens. Pour cela, l'Algérie aurait même réussi, selon toujours le même interlocuteur, à convaincre l'Egypte d'accepter de parler à toutes les parties, y compris les islamistes. «Il faut parler à tous, y compris les islamistes et les anciens kadhafistes», indique Ghennouchi.

Depuis quelques semaines, l'Algérie tente de rapprocher les factions libyennes. Mais pour l'heure, ces initiatives n'ont pas abouti. Un sommet des chefs d'Etats et de gouvernements de la région s'est également tenu jeudi à Brazzaville, la capitale du Congo. Il n'a donné aucun résultat concret.

Essaïd Wakli

Cet article Crise libyenne/ Un sommet tripartite prochainement à Alger est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 10:00AM

Pour se protéger contre d’éventuelles poursuites/ Quatorze ministres FLN souhaitent devenir députés !

A deux exceptions prés, les ministres apparentés FLN veulent se présenter à la prochaine élection législative. Selon un membre important du FLN, «sur 16 ministres que compte le parti, 14 traînent des dossiers judiciaires. Ils cherchent tous à se présenter à la députation pour éviter des poursuites», indique-ton du coté du parti de Djamel Ould-Abbès.

Pour cela, les ministres tentent de prendre attache avec les différents mouhafedh de l'ancien parti unique pour trouver place dans les listes électorales. Mais le pari n'est pas gagné d'avance, d'autant plus que le secrétaire général du FLN a menacé de «rendre publics» des dossiers de corruption.

Pour l'heure, la direction du FLN n'a pas encore tranché sur le sort de certains de ses ministres. Mais deux de ces membres du gouvernement ne semblent pas être intéressés par la députation. Il s'agit de Abdelkader Messahel, ministre chargé des Affaires maghrébines et africaines et de Abdelmadjid Tebboune, ministre de l'Habitat.

Par ailleurs, des sources proches de la direction du FLN indiquent que c'est Mohamed-Larbi Ould-Khelifa, actuel président de l'APN, qui sera reconduit comme tête de liste du parti à Alger. Une «faveur» qui lui ouvre la voie d'un second mandat comme président de l'APN.

Les mêmes sources indiquent que, contrairement aux rumeurs, Abdelmalek Sellal ne sera pas tête de liste FLN à Alger. A moins que Bouteflika ne décide de changer de stratégie.

Essaïd Wakli

Cet article Pour se protéger contre d'éventuelles poursuites/ Quatorze ministres FLN souhaitent devenir députés ! est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 29, 2017 at 09:49AM

samedi 28 janvier 2017

Affaire Kamel Eddine Fekhar/ Le détenu voué au même sort que Mohamed Tamalt?

Déterminé à poursuivre sa grève de la faim, le Dr Kamel Eddine Fekhar, emprisonné depuis plus de 18 mois dans la foulée des événements de Ghardaïa, a clairement signifié à son avocat, Me Salah Dabouz, qu'il rentrera chez lui ou sera envoyé au cimetière, mais qu'il ne retournera en aucun cas en prison.

Hospitalisé le 15 janvier dernier à El Goléa, puis transféré à l'hôpital de Laghouat, Kamel Eddine Fekhar dont la santé s'est nettement détériorée depuis l'entame de sa grève de la faim, il y a de cela un mois, semble déterminé a aller au bout de son action, même au péril de sa vie.

Son avocat et président de la Ligue algérienne pour la défense des Droits de l'Homme (LADDH), Me Salah Dabouz, a interpellé à plusieurs reprises les autorités sur l'état de santé très entamée du détenu, les mettant face à leurs responsabilités, si malheur venait à frapper son client en grève de la faim depuis 26 jours.

Accusé «d'incitation à la violence et la haine, d'atteinte à la sûreté de l'État et d'attroupement armé et non armé», le Dr Fekhar, a été mis sous verrous en compagnie de 11 de ses partisans qui ont également entamé une grève de la faim, il y a deux semaines. «Les grévistes sont décidés eux aussi à conduire leur action jusqu'à leur libération et la satisfaction des revendications du Dr Fekhar», a ajouté Me Dabouz

Face à l'autisme des autorités, l'avocat de Kamel Eddine Fekhar craint que le sort qui lui est réservé soit similaire à celui du défunt journaliste Mohamed Tamalt, décédé en prison après trois mois de grève de la faim.

Massi M.

 

Cet article Affaire Kamel Eddine Fekhar/ Le détenu voué au même sort que Mohamed Tamalt? est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 28, 2017 at 03:33PM

Logement/ Le marché de location plombé par 1,2 million d’appartements inoccupés

 

Il y aurait 1,2 million de logements inoccupés en Algérie. Un chiffre effarant qui peut, en partie, expliquer les tarifs exorbitants des loyers dans un marché où l'offre est nettement inférieur à la demande.

La cherté excessive des loyers est devenue un handicap pour les Algériens en quête d'habitation, aujourd'hui otages d'un système défaillant. Selon le président de la Fédération algérienne des agences immobilières (FNAIM), Abdelhakim Aouidat, 1,2 millions de logements serait inoccupés en Algérie. Cette situation problématique contribue à l'envolée des prix de la location.

Toujours selon M. Aouidat, le marché de l'immobilier souffre d'un manque chronique de mécanismes de contrôle chargés de recenser les habitations inoccupées appartenant à une frange très privilégiée de la société qui accumule les propriétés de façon tout à fait illégale, à l'ombre d'un régime fiscal peu contraignant.

Cela dit, il y a d'autres facteurs qui concourent à cette flambée des tarifs, parmi lesquels la spéculation entretenue par les intermédiaires qui parasitent le marché de la location. Les textes de loi étant très permissifs, les clauses du contrat de location échappent à tout contrôle. Selon la législation en vigueur, le contrat ne peut être remis en cause puisque les deux parties sont consentantes. Dans cette situation, les intermédiaires imposent des tarifs incluant des marges confortables, assortis d'une obligation à verser une avance d'un an sans être inquiétés.

L'autre facteur favorisant l'envolée de ces tarifs : la fausse déclaration. Toujours selon M. Aouidat, la plupart des transactions se font sous de fausses déclarations. Les parties engagées dans le contrat de location ne déclarent pas la valeur réelle de la transaction afin de minimiser les retombées en termes d'impôts. Cette pratique frauduleuse contribue à brouiller les données concernant ce marché et maintien le flou qui sucre les affaires de toute une faune de parasites qui s'enrichissent en exploitant cette crise du logement.

Massi M.

Cet article Logement/ Le marché de location plombé par 1,2 million d'appartements inoccupés est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 28, 2017 at 03:25PM

Un homme humilie une fille et diffuse la vidéo sur internet/ la blogosphère algérienne sous le choc

Les violences faites aux femmes prennent une dimension tragique en Algérie. Désormais, les violeurs et auteurs des maltraitances filment leurs "exploits" et diffusent sans aucune peur leurs crimes sur internet. Après la violence vidéo de la jeune fille de Tiaret victime d'une agression sexuelle caractérisée, une nouvelle vidéo choquante a fait son apparition sur les réseaux sociaux. 

 

Une vidéo dans laquelle un homme violente brutalement et humilie une jeune fille, présentée comme étant sa copine, en l'obligeant d'embrasser… son pied. Les paroles sont horribles et les images montrent une femme terrifiée, apeurée comme une pauvre bête pourchassée par des chasseurs avides de sang et de sensations fortes. C'est un véritable film d'horreur où la jeune femme subit un traitement des plus humiliants. En quelques heures, cette vidéo a été massivement partagée sur Facebook. Les internautes algériens n'ont pris aucune mesure pour protéger l'intimité de la victime.  A visage découvert, la jeune fille apparaît dans ses traits les plus fragiles. Des milliers, pour ne pas dire des millions, d'Algériens ont visionné cette vidéo. Violée intégralement dans son intimité, la victime devient le sujet la risée des commentaires sur les réseaux sociaux. Ce samedi, un autre internaute a posté une autre vidéo sur la page Couple Dz où il affirme que la jeune victime se serait suicidée à la suite de la médiatisation de son humiliation. Une information qu'il faut prendre avec beaucoup de pincettes car aucune source sécuritaire n'a pu nous le confirmer. Cette rumeur, que personne ne peut infirmer ou confirmer à ce stade, a provoqué une onde de choc nationale.

Les services de sécurité n'ont toujours pas réagi publiquement. Et la polémique continue d'enfler. La violence qui martyrise les Algériennes alimente les peurs et les angoisses. Elle devient un sujet de discussion récurrent sur les réseaux sociaux. Avec toujours cette sempiternelle question qui revient dans tous les commentaires : jusqu'à quand cette violence va-t-elle durer ?

Soulignons enfin que nous n'avons pas voulu publier la vidéo en question pour ne pas heurter la sensibilité de nos lecteurs et pour ne pas humilier encore davantage la victime dont nous ignorons encore le sort qui lui a été réservé à la suite de ces terribles sévices. 

Cet article Un homme humilie une fille et diffuse la vidéo sur internet/ la blogosphère algérienne sous le choc est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 28, 2017 at 03:11PM

Les français livrés au froid/ Pourquoi l’Algérie a refusé d’approvisionner la France en quantités supplémentaires de gaz

L'Algérie a refusé d'approvisionné la France en gaz au moment où les français grelottent et subissent une terrible vague de froid. En raison de la hausse de la consommation suite notamment à la persistance des mauvaises conditions climatiques en France, l'opérateur Engie (ex. GDF Suez) a réclamé à Sonatrach des quantités supplémentaires de gaz pour faire face à la forte demande des abonnés français. 

Cependant, Sonatrach a décliné la proposition française, a expliqué jeudi le PDG de Sonatrach, Amine Mazouzi. Selon ce dernier, "les quantités contractuelles destinées au sud-est de la France avaient été totalement épuisées par l'opérateur Engie".  Ainsi, la partie française a sollicité Sonatrach pour l'approvisionner en quantités supplémentaires de gaz, mais Sonatrach "est dans son droit de décliner cette demande en raison de ses engagements avec d'autres clients", a ajouté une source au sein de Sonatrach à l'agence gouvernementale l'APS. Le refus de l'Algérie de livrer davantage de gaz s'explique, en toute vraisemblance, par les pressions exercées par "la partie française" qui voulait "renégocier les contrats gaziers à long terme avec Sonatrach lorsque les prix (de gaz) étaient bas. Ils (les Français) voulaient faire pression sur Sonatrach pour renégocier ces contrats", avait dénoncé la même source.

L'Algérie prend ainsi sa revanche à la suite d'un bras de fer qui dure depuis des années avec la France. Celle-ci tente depuis 2013 d'imposer une révision à la baisse des prix du gaz vendu par l'Algérie. Environ 10 % du gaz consommé en France provient de notre pays. "L'Algérie est un fournisseur fiable en gaz (…). Nous avons honoré tous nos engagements et répondu à toutes les demandes convenues entre les deux parties notamment durant le mois de janvier et même pendant l'arrêt technique de l'unité de liquéfaction Skikda", a précisé enfin à ce propos le PDG de Sonatrach pour répondre aux accusations de la partie française qui met en cause le sérieux des prestations de Sonatrach concernant ses approvisionnements en gaz.

 

Cet article Les français livrés au froid/ Pourquoi l'Algérie a refusé d'approvisionner la France en quantités supplémentaires de gaz est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 28, 2017 at 02:16PM

Divorce et conflits familiaux/ Lancement de la médiation pour éviter le recours à la justice

Inédit. La médiation familiale sera lancée bientôt au niveau de de chaque direction de l'action sociale (DAS).  L'objectif est de  contribuer à la réduction du nombre des divorces et pour la protection des personnes âgées en les maintenant dans leur environnement familial. 

Le ministère de la solidarité nationale a mobilisé des équipes composées notamment de sociologues, de psychologues et de juristes en prévision de l'entrée en application à partir de l'année en cours des mesures de la médiation familiale pour résoudre des conflits familiaux et garantir la cohésion familiale et sociale, a indiqué à ce sujet la ministre Mme Meslem lors d'une rencontre avec les directeurs des établissements spécialisés de son secteur. La médiation familiale est une mesure préventive visant à régler les conflits pouvant survenir en milieu familial et éviter le recours à la justice, a-t-elle expliqué encore annonçant des campagnes de sensibilisation en vue d'expliquer cette procédure et son rôle dans le règlement des conflits familiaux.

Cet article Divorce et conflits familiaux/ Lancement de la médiation pour éviter le recours à la justice est apparu en premier sur Algérie Focus.



Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source





Source : Algérie Focus
Date : January 28, 2017 at 01:35PM